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Ce quatorziÁeme album studio est un disque audacieux, poÂetique et incisif, qui dÂemontre tout le talent et la palette d'influences musicales des californiens, ajoutant Áa leur carriÁere l'un de ses meilleurs chapitres. Du rock dÂebordant de guitares Âelectriques bravaches, de percussions mordantes et d'Âenergie sÂeductrice sur Pink balloons Áa l'hymne pop ensoleillÂe Shine, en passant par la magnifique balade intimiste soul Deeper and deeper, un bijou acoustique d'introspection quasi-murmurÂe co-Âecrit avec le guitariste Michael Ward, Call it what it is s'avÁere Ãetre Áa la fois le plus vulnÂerable et le plus joyeux des albums de Ben Harper, cÂelÂebrant sa rÂeunion tant attendue par les fans avec The Innocent Criminals, aujourd'hui plus proches que jamais.

Il y a maintenant plus de vingt années que naissait l'aventure Coriandre. Le duo initial s'est assez rapidement transformé en quartet puis en quintet par l'adjonction d'une section rythmique expérimentée (guitare-basse- batterie). D'emblée l'occitan fut, comme une évidence, la langue choisie afin de porter la plupart des chansons, qu'elles soient traditionnelles ou composées. Le français n'est pas ostracisé pour autant, puisque utilisé dans quelques morceaux. Aujourd'hui, par cette sixième création, le groupe propose, comme lors des précédents opus, et à travers 14 chansons, dont une traditionnelle, des ambiances où l'énergie propre à la formation est au rendez-vous, mais aussi des titres plus intimistes, bien que toujours dansants, offrant une coloration nouvelle et une facette encore peu connue de la bande.

Une voix pour notre temps, moitié Joni Mitchell, moitié Laura Nyro. Un ensemble de chansons d'une beauté douloureuse qui rappelle Karen Carpenter et Fiona Apple, avec une touche de Kate Bush. L'étoffe d'une légende, pour une voix qui surfe sur de nombreuses tangentes musicales, plane et persiste, pique avec honnêteté ; se transformant de la douce révérence de Karen Carpenter au grondement soul de Laura Nyro, passant par des phases de possédée comme Dada, avant de se jeter dans les mélodies les plus jazzy de Joni Mitchell ou des harmonies proches des regrettés Roches lorsqu'ils ont fusionné avec Robert Fripp. Candlepower est une juxtaposition de mélodies, un ensemble de chansons d'une beauté bouleversante et une résonnance séduisante sur le quotidien et le monde qui nous entoure dans toute sa banalité.

Albada, c'est l'aube, la lueur du matin qui toujours se renouvelle. Albada, ce sont deux femmes et un homme qui se saisissent de la tradition et de ses chants pour leur donner une résonance nouvelle. A trois voix, en duo, en solo, ils fabriquent un son intime et éclatant, doux et brut. Ils donnent à entendre des chants qui ont voyagé au fil du temps et des lieux, des personnes, du Languedoc à la Gascogne, témoins d'un territoire occitan aux mille visages. Albada, c'est la bascule, la jonction, le lien : entre hier et aujourd'hui, entre la veillée et le concert, le chant d'amour et de moisson, entre trois voix émergeant du silence pour créer un espace de son et de chaleur, au plus près des auditeurs. En polyphonie, en monodie simple ou accompagnée, ce nouveau trio suscite une écoute originale et renouvelée.

Un Per Vox est un trio à cappella spécialisé dans les polyphonies traditionnelles du sud de l'Europe ; constitué de trois chanteurs issus de l'ensemble Vox Bigerri. Une formule légère, un par voix, chaque voix à nu. Du Pays Basque à la Corse, en passant par la Bigorre d'où les chanteurs sont issus, le répertoire parcourt toutes ces traditions de polyphonie et met en valeur leurs similitudes et leurs singularités. S'invitent dans ce projet des éclairages contemporains, souvent composés par les chanteurs eux-mêmes. Un Per Vox nous donne à entendre combien tradition et modernité se complètent et se révèlent l'une à l'autre. Un voyage musical porté par la rencontre humaine et la vibration.

Greg, 12 ans, a un grand frère musicien qui le taquine, un petit frère qui l'étouffe, un copain au collège qu'il supporte difficilement, des problèmes avec les filles ou encore des parents qui ne le comprennent pas. Le jour où sa mère lui offre un journal intime, il commence à y consigner ses secrets et pensées. Récit né d'un blog tenu par l'auteur. ­Electre 2017

D'une créativité rare, Maître Gims relève encore une fois un défi : celui d'avoir composé des morceaux aux univers tous différents les uns des autres. On retrouve incontestablement le talent de l'artiste pour des chansons festives et des mélodies sentimentales, quand d'autres textes font la part belle à une plume plus engagée... et plus sombre. Et pour que la surprise soit totale, Ceinture noire offre des collaborations aussi réussies qu'inattendues... Cet album parait en 3 versions différentes qui contiennent chacune 3 titres exclusifs.

AprÁes avoir explorÂe les routes de la diaspora africaine, via le BrÂesil, Cuba et les Etats-Unis, aprÁes s'Ãetre rÂeappropriÂe l'hÂeritage africain exploitÂe avec talent par les Talking Heads dans l'album Remain in light, la franco-bÂeninoise s'est arrÃetÂee sur une icÃone de la musique des AmÂeriques, Celia Cruz. En dix titres, l'album s'est dÂeparti du clinquant pour creuser les racines africaines de celle qui fut la 'reine de la salsa', genre inventÂe Áa New-York par les immigrÂes caribÂeens.

AprÁes un premier opus consacrÂe Áa Rachmaninov, Chostakovitch et Denisov en duo avec le pianiste Jonas Vitaud, Victor Julien-LaferriÁere prÂesente aujourd'hui deux concertos pour violoncelle d'AntonÂin Dvorak (Op.104) et Bohuslav Martinu (na1, H.196), accompagnÂe par l'Orchestre Philharmonique Royal de LiÁege sous la direction de Gergely Madaras. Les deux compositeurs, nÂes en BohÃeme en 1841 et 1890, ont en commun un trÁes fort attachement Áa la musique de leur pays d'origine ainsi qu'une expÂerience amÂericaine marquante - mÃeme si le motif du voyage diffÁere : Dvorak est directeur du conservatoire de New York de 1892 Áa 1895 (c'est Áa ce moment-lÁa qu'il compose sa Symphonie du Nouveau Monde ainsi que son concerto pour violoncelle) tandis que Martinu Âemigre aux Etats- Unis lors de la Seconde Guerre mondiale et y restera jusqu'en 1953, y composant avec succÁes des dizaines de piÁeces. A travers cet enregistrement, Victor Julien-LaferriÁere rÂeunit deux Âeminences de l'ÂEcole musicale tchÁeque autour de son instrument.

A' l'image de nos vies, les chansons de Camille Feist se colorent toujours de tristesse et de joie, de sourires et de larmes. Ces chansons a' t'aime parlent de nous en nous parlant de Camille, la souffrance n'est jamais loin des ivresses de l'amour, un rire en coin venant chaque fois tempeèrer les compositions les plus graves. Sa voix cristalline distille avec tendresse les mots et les couplets qui rassurent ou interrogent. Les cinq Chansons à t'aime de l'EP de Camille Feist sont le fruit de la rencontre avec le musicien et arrangeur Yann Féry en pleine période de confinement. C'est une session d'enregistrement effectuée dans une certaine urgence et euphorie de la création retrouvée qui offre à celui qui l'écoute, l'étendue de l'univers et des thèmes de prédilection de Camille Feist.