Après la publication du livre "Des gens très bien", à propos du rôle de son grand-père, Jean Jardin, directeur de cabinet de Pierre Laval, lors des grandes rafles antisémites de 1942, l'écrivain a reçu le témoignage de lecteurs sur leurs secrets de famille. Les confidences de Norma Diskredapl sur un membre de sa famille, ancien collabo le décident à raconter l'histoire des Diskredapl.